• PARIS 75010

  • 2013

  • Construction d’une maison individuelle

  • MAO : PRIVEE

  • 170 m²

  • 500 000 €

  • Avant Projet Sommaire

DUBAIL (75)

Stratégie de conquête verticale, escalade entre murs pignons, stratification des programmes, invention de nouveaux territoires…

Au rez de chaussée d’un passage, l’atelier optimise les apports lumineux tout en se protégeant des vues directes depuis la rue.

A l’étage, logés dans un pont vierendel minéral, les chambres et les espaces intimes de la maison.

Sur le pont, la vie au grand air, le plateau, la tablier, comme une terrasse habitée, derrière des panneaux de verre qui peuvent entièrement disparaitre.

Perché dans le vide, le nid, la cabane, le “toit”, dernier bloc de l’escalade, la grotte suspendue abrite dans un  renversement des conditions, dans une solution de repli entre ciel et terre, le lieu privilégié pour la réflexion, le travail et l’hédonisme.

Comme lors d’une escalade, des stratégies sont mises en place afin de faire le grand écart entre les contraintes réglementaires, entre les murs pignons, les fonds de parcelle, les retraits obligés, les franchissements autorisés, les limites atteignables.

Le pont structurel au premier niveau garantit le nouveau sol artificiel permettant de conquérir l’ascension des nouveaux territoires . On parle de “voies”, de “toit”,  d’”appuis”, de contorsionisme.

C’est une énergie poussant la pierre à fuir le carcan minéral parisien.

2013 / Construction d’une maison individuelle

Stratégie de conquête verticale, escalade entre murs pignons, stratification des programmes, invention de nouveaux territoires…

Au rez de chaussée d’un passage, l’atelier optimise les apports lumineux tout en se protégeant des vues directes depuis la rue.

A l’étage, logés dans un pont vierendel minéral, les chambres et les espaces intimes de la maison.

Sur le pont, la vie au grand air, le plateau, la tablier, comme une terrasse habitée, derrière des panneaux de verre qui peuvent entièrement disparaitre.

Perché dans le vide, le nid, la cabane, le “toit”, dernier bloc de l’escalade, la grotte suspendue abrite dans un  renversement des conditions, dans une solution de repli entre ciel et terre, le lieu privilégié pour la réflexion, le travail et l’hédonisme.

Comme lors d’une escalade, des stratégies sont mises en place afin de faire le grand écart entre les contraintes réglementaires, entre les murs pignons, les fonds de parcelle, les retraits obligés, les franchissements autorisés, les limites atteignables.

Le pont structurel au premier niveau garantit le nouveau sol artificiel permettant de conquérir l’ascension des nouveaux territoires . On parle de “voies”, de “toit”,  d’”appuis”, de contorsionisme.

C’est une énergie poussant la pierre à fuir le carcan minéral parisien.