• CARNAC (56)

  • 2019

  • Construction d'une maison individuelle

  • 250 m²

CARNAC

Une maison existante ne répond plus aux usages voulus d’une famille ; sa partie habitable se situe à l’étage, le RDC est aveugle et technique et son implantation, au milieu du terrain, ne libère que des espaces verts résiduels.

La nouvelle maison cherche à dissiper les limites intérieurs/extérieurs.

Un grand volume de bois noir est posé sur trois blocs de pierre dans un jeu de dématérialisation des seuils. Comme dans un renversement de la situation initiale, les limites du terrain deviennent les dernières façades de la maison. La maison flotte dans une clairière.

Au RDC, les « fonctions », escaliers, cuisine, salle d’eau, celliers, cheminée, garage,., sont contenues dans les trois volumes et définissent en négatif, le plan libre du RDC totalement ouvert sur le jardin.

A l’étage, deux ensembles privatifs indépendants, accessibles au travers des blocs, sont contenus dans un pont habité en porte à faux sur les espaces extérieurs abrités du RDC.

En lointain écho aux dolmens et alignements de pierres caractéristiques de ce territoire, la maison renoue avec les fonctions archaïques de l’habitat : elle protège, ouvre, abrite, dans une forme de célébration rythmée par la course du soleil.

2017 / construction d'une maison individuelle

Une maison existante ne répond plus aux usages voulus d’une famille ; sa partie habitable se situe à l’étage, le RDC est aveugle et technique et son implantation, au milieu du terrain, ne libère que des espaces verts résiduels.

La nouvelle maison cherche à dissiper les limites intérieurs/extérieurs.

Un grand volume de bois noir est posé sur trois blocs de pierre dans un jeu de dématérialisation des seuils. Comme dans un renversement de la situation initiale, les limites du terrain deviennent les dernières façades de la maison. La maison flotte dans une clairière.

Au RDC, les « fonctions », escaliers, cuisine, salle d’eau, celliers, cheminée, garage,., sont contenues dans les trois volumes et définissent en négatif, le plan libre du RDC totalement ouvert sur le jardin.

A l’étage, deux ensembles privatifs indépendants, accessibles au travers des blocs, sont contenus dans un pont habité en porte à faux sur les espaces extérieurs abrités du RDC.

En lointain écho aux dolmens et alignements de pierres caractéristiques de ce territoire, la maison renoue avec les fonctions archaïques de l’habitat : elle protège, ouvre, abrite, dans une forme de célébration rythmée par la course du soleil.