• Construction d’une maison individuelle

  • Figari (20)

  • 2000

  • MAO : PRIVEE

  • ARCHITECTE ASSOCIÉ – CHAMBAUD ARCHITECTES

  • 250 m²

  • 500 000 €

CORSE (20)

En surplomb sur la mer Méditerranée, au milieu des chaos granitiques, cette maison tente à la fois de disparaitre dans le paysage, afin de le préserver, et de s’ouvrir au maximum afin d’en capter toute la beauté. La maison est donc pensée sur un seul niveau partiellement enfoui sur l’arrière dans la déclivité du terrain, et entièrement dégagée sur l’horizon par de grands verres coulissants de 2.40m par 2.40m. La maison s’organise autour d’un patio, composé des mêmes verres, qui dématérialise encore un peu l’ensemble construit et assure une ventilation continue au travers du bâtiment. L’ensemble est construit sur une fine trame de poteaux béton tous les 4.80m, dans lesquels viennent en feuillure s’inscrire les verres. En débord sur la façade sud, un brise-soleil en bois de 23m sur 3m en porte à faux assure l’ombrage devant les vitrages. Depuis la plage, la maison est enfouie, invisible, camouflée entre les reflets du paysage et les rayons filtrés au travers du toit.

2000 / construction d’une maison individuelle

En surplomb sur la mer Méditerranée, au milieu des chaos granitiques, cette maison tente à la fois de disparaitre dans le paysage, afin de le préserver, et de s’ouvrir au maximum afin d’en capter toute la beauté. La maison est donc pensée sur un seul niveau partiellement enfoui sur l’arrière dans la déclivité du terrain, et entièrement dégagée sur l’horizon par de grands verres coulissants de 2.40m par 2.40m. La maison s’organise autour d’un patio, composé des mêmes verres, qui dématérialise encore un peu l’ensemble construit et assure une ventilation continue au travers du bâtiment. L’ensemble est construit sur une fine trame de poteaux béton tous les 4.80m, dans lesquels viennent en feuillure s’inscrire les verres. En débord sur la façade sud, un brise-soleil en bois de 23m sur 3m en porte à faux assure l’ombrage devant les vitrages. Depuis la plage, la maison est enfouie, invisible, camouflée entre les reflets du paysage et les rayons filtrés au travers du toit.