• Mâcon (71) – « Terre-Marin »

  • 2011

  • MÂCON HABITAT

  • Architecte Associé – Chambaud Architectes

  • 3420 m²

  • 4 500 000 €

  • Concours lauréat - réalisé

MACON (71)

Sur un terrain dont la forte pente est orientée vers le Nord, il faut implanter 21 logements individuels et 20 logements collectifs. Le terrain très sensible et la petite échelle des constructions proches appellent une implantation la plus douce possible de ce programme dense.
Trois principes régissent ce projet:
1- les contructions sont toutes implantées Nord/Sud afin d’éviter les effets de masque et de permettre de construire des logements tous traversants Est/Ouest.
2- les progammes collectifs et individuels sont mélangés, ils entretiennet tous le même rapport au site. Implantés dans des bâtiments très fins (8.50m d’épaisseur), leur hauteur est limitée à R+2. Tous les logements profitent de la meilleure orientation possible.
3- L’alternance des gabarits contruits (R+1-R+2) et le calage de chaque construction sur la pente du terrain individualisent chaque bâtiment. Afin d’affirmer l’identié de chaque groupe de maisons ou chaque immeuble, un traitement de façade et une couleur spécifique leur sont attribués. Des bétons matricés alternent avec des enduits lisses. Les couleurs sont distribuées par effet de contraste, les pignons se distinguent des façades sur rues, le tout créant une multitude de variations dans un ensemble structuré, comme un quartier à généalogie particulière dans un morceau de ville.
Le caractère paysager du site, et son rapport au futur parc, trouvent des échos particuliers dans la muliplicité des jardins (24×2), dans les murs végétalisés à chaque bout des constructions, et dans les toitures végétalisées dont le traitement a été particulièrement soigné,notamment en faisant disparaitre les impacts techniques.

Cette opération, la première d’une future ZAC de 650 logements, répond à la question de l’urbanisation d’un territoire presque vierge par un ensemble à l’identité affirmée et à l’échelle littéralement intermédiaire, en relation directe et continue avec le paysage existant.

2011 / construction de 41 logements locatifs « Terre-marin » – collectifs et individuels (71)

Sur un terrain dont la forte pente est orientée vers le Nord, il faut implanter 21 logements individuels et 20 logements collectifs. Le terrain très sensible et la petite échelle des constructions proches appellent une implantation la plus douce possible de ce programme dense.
Trois principes régissent ce projet:
1- les contructions sont toutes implantées Nord/Sud afin d’éviter les effets de masque et de permettre de construire des logements tous traversants Est/Ouest.
2- les progammes collectifs et individuels sont mélangés, ils entretiennet tous le même rapport au site. Implantés dans des bâtiments très fins (8.50m d’épaisseur), leur hauteur est limitée à R+2. Tous les logements profitent de la meilleure orientation possible.
3- L’alternance des gabarits contruits (R+1-R+2) et le calage de chaque construction sur la pente du terrain individualisent chaque bâtiment. Afin d’affirmer l’identié de chaque groupe de maisons ou chaque immeuble, un traitement de façade et une couleur spécifique leur sont attribués. Des bétons matricés alternent avec des enduits lisses. Les couleurs sont distribuées par effet de contraste, les pignons se distinguent des façades sur rues, le tout créant une multitude de variations dans un ensemble structuré, comme un quartier à généalogie particulière dans un morceau de ville.
Le caractère paysager du site, et son rapport au futur parc, trouvent des échos particuliers dans la muliplicité des jardins (24×2), dans les murs végétalisés à chaque bout des constructions, et dans les toitures végétalisées dont le traitement a été particulièrement soigné,notamment en faisant disparaitre les impacts techniques.

Cette opération, la première d’une future ZAC de 650 logements, répond à la question de l’urbanisation d’un territoire presque vierge par un ensemble à l’identité affirmée et à l’échelle littéralement intermédiaire, en relation directe et continue avec le paysage existant.