• Oyonnax (01)

  • 2011

  • Construction de 20 logements dans le cadre de l’ANRU

  • MAO – DYNACITE

  • ARCHITECTE ASSOCIÉ - DTA architectes

  • 1730 m²

  • 2 300 000 €

  • Concours perdu

OYONNAX (01)

Dans le cadre d’une recomposition urbaine globale du quartier de La Forge, trois blocs de quelques 70 logements sont démolis et 20 logements neufs prennent place le long de la rue Saint-Exupéry. Pour qu’elle prenne tout son sens, une opération de ce type doit substituer à l’état initial, une vision du quartier, nouvelle, à l’écoute de ses habitants et durable.

Le quartier de La Forge présente aujourd’hui un habitat très standardisé, donnant sur des espaces publics non qualifiés, rendus potentiellement dangereux par l’omniprésence de l’automobile.

Que faire pour rendre le quartier plus attractif ? Comment changer le sentiment d’uniformité que dégagent les espaces au pied des immeubles ? Que proposer comme forme d’habitat moins répétitive et anonyme? Comment renforcer le sentiment d’appartenance à un quartier, depuis l’espace public jusqu’au cœur du logement ? Comment favoriser les liens du quartier avec le reste de la ville ?

A l’anonymat des immeubles existants, les nouvelles constructions répondent par une formulation de l’habitat entre l’immeuble collectif et la maison individuelle. Il en résulte une multiplicité d’appropriation possible des logements, de leurs accès et de leurs relations à l’extérieur, une variété de gabarits allant de R+1 à R+3 et une spécificité de chaque appartement selon sa hauteur et sa position dans l’ensemble.

Les logements profitent tour à tour de jardins privatifs, de patios-terrasse, de paliers semi-privatifs, d’accès individualisés, de terrasses en surplomb sur des jardins collectifs. Les logements en rez de chaussée, accessibles aux personnes à mobilité réduite, profitent de terrasses donnant sur des jardins qui protègent des vues depuis les espaces publics.

2011 / construction de 20 logements dans le cadre de l’ANRU (01)

Dans le cadre d’une recomposition urbaine globale du quartier de La Forge, trois blocs de quelques 70 logements sont démolis et 20 logements neufs prennent place le long de la rue Saint-Exupéry. Pour qu’elle prenne tout son sens, une opération de ce type doit substituer à l’état initial, une vision du quartier, nouvelle, à l’écoute de ses habitants et durable.

Le quartier de La Forge présente aujourd’hui un habitat très standardisé, donnant sur des espaces publics non qualifiés, rendus potentiellement dangereux par l’omniprésence de l’automobile.

Que faire pour rendre le quartier plus attractif ? Comment changer le sentiment d’uniformité que dégagent les espaces au pied des immeubles ? Que proposer comme forme d’habitat moins répétitive et anonyme? Comment renforcer le sentiment d’appartenance à un quartier, depuis l’espace public jusqu’au cœur du logement ? Comment favoriser les liens du quartier avec le reste de la ville ?

A l’anonymat des immeubles existants, les nouvelles constructions répondent par une formulation de l’habitat entre l’immeuble collectif et la maison individuelle. Il en résulte une multiplicité d’appropriation possible des logements, de leurs accès et de leurs relations à l’extérieur, une variété de gabarits allant de R+1 à R+3 et une spécificité de chaque appartement selon sa hauteur et sa position dans l’ensemble.

Les logements profitent tour à tour de jardins privatifs, de patios-terrasse, de paliers semi-privatifs, d’accès individualisés, de terrasses en surplomb sur des jardins collectifs. Les logements en rez de chaussée, accessibles aux personnes à mobilité réduite, profitent de terrasses donnant sur des jardins qui protègent des vues depuis les espaces publics.